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Femmes / Troubles féminins Traiter les cystites et éviter les récidives naturellement

Traiter les cystites (infections urinaires) et éviter les récidives naturellement

Beaucoup de femmes ont déjà eu une infection urinaire au moins une fois dans leur vie: sensation de brûlure aux toilettes à la miction, gêne, douleurs, envies fréquentes d’uriner sans pouvoir évacuer les urines...

Cette inflammation de la vessie due à une infection bactérienne est aussi connue sous le nom de cystite et peut altérer la qualité de vie lorsqu’elle est répétée et devient récidivante (on parle de cystite récidivante lorsque 4 épisodes ou plus surviennent en 12 mois). Si elle touche surtout les femmes, l’infection urinaire peut aussi parfois toucher les hommes.

Il est à noter que ces cystites, dites "aiguës" car elles guérissent rapidement après un traitement, sont différentes des cystites interstitielles qui correspondent à une inflammation chronique non infectieuse de la vessie (dont la cause n’est pas bactérienne).

Quelles sont les causes d'une infection urinaire ?

Dans 90% des cas, les infections urinaires sont dues à des bactéries appelées Escherichia Coli, bactéries de la famille des colibacilles (dans le reste des cas, elles sont dues à d’autres bactéries ou micro-organismes).

Ces bactéries font partie de la flore commensale de l’intestin (microbiote intestinal) où elles sont inoffensives (pour la plupart des souches) et même très utiles ; cependant, c’est lorsqu’elles migrent vers les voies urinaires où elles ne sont pas censées se trouver qu’elles deviennent problématiques.

Une inflammation de la vessie ou cystite survient lorsque ces bactéries atteignent la vessie et qu’elles y prolifèrent.

Les femmes sont plus souvent touchées que les hommes du fait de leur anatomie : leur urètre (le canal excréteur de l’urine qui va de la vessie au méat urinaire) est plus court que celui des hommes, ce qui facilite la remontée des bactéries infectieuses jusqu’à la vessie

De plus la proximité entre l’anus et le méat urinaire chez la femme facilite aussi l’accès des bactéries vers les voies urinaires. Par ailleurs, il existerait un lien étroit entre le microbiote du système intestinal et celui du système urinaire, ce qui expliquerait qu'un déséquilibre de la flore intestinale puisse avoir un lien avec la survenue des cystites.

Certains facteurs peuvent aggraver la survenue d’infections urinaires chez la femme : rapports sexuels notamment avec utilisation de spermicides, prolapsus génital et urinaire (descente d’organes), incontinence urinaire, grossesse ou déficit en oestrogène après la ménopause.

Chez les hommes, la cause d’une cystite peut être liée à une inflammation ou à une hypertrophie bénigne de la prostate.

Les infections urinaires doivent être prises très au sérieux car une absence de traitement peut entraîner des complications graves. En effet l’infection peut remonter jusqu’aux reins en passant le long de l’uretère et déclencher une pyélonéphrite (infection de l’uretère et des reins).

Une attention particulière et un avis du médecin sont d’autant plus importants en cas de grossesse, de malformation au niveau des voies urinaires, de calculs au niveau des reins ou de la vessie, ou en cas de diabète.

Quels sont les symptômes d’une infection urinaire ?

Les signes d’une infection urinaire sont les suivants:

  • sensation de brûlure à la miction,
  • douleurs,
  • sensation de poids,
  • pression ou douleur dans le bas-ventre,
  • envies fréquentes d’uriner sans pouvoir évacuer les urines,
  • urines troubles ayant une mauvaise odeur et parfois des traces de sang
  • Une cystite peut entraîner une fièvre légère (moins de 38°C); néanmoins, si la fièvre est plus élevée ou persiste, il est important de consulter son médecin généraliste. Également, une consultation médicale est nécessaire chez la femme enceinte, chez l’enfant, chez la femme de plus de 65 ans, en cas de douleurs lombaires, en cas de sang dans les urines.

Traitement de l’infection urinaire en médecine allopathique

Les traitements médicamenteux pour traiter une cystite reposent sur la prescription par votre médecin d’un antibiotique adapté.

Dans le cadre d’une cystite aiguë, les antibiotiques utilisés sont :

  • La fosfomycine (MONURIL®, URIDOZ® ou équivalents génériques): traitement en une seule dose (monodose), prescrite en première intention.
  • Le pivmécillinam (SELEXID®): antibiotique de la famille des bêta-lactamines, prescrit habituellement en traitement sur une durée de 5 jours.
  • La nitrofurantoïne (FURADANTINE®): en traitement curatif pendant 5 à 7 jours. En raison d'effets secondaires graves cependant rares au niveau pulmonaire ou hépatique, cet antibiotique ne doit pas être prescrit de manière répétée et en aucun cas en traitement préventif.
  • La ciprofloxacine (CIFLOX®) et l’ofloxacine (OFLOCET®): antibiotiques de la famille des quinolones prescrits en cas de résistance bactérienne. Leur utilisation doit rester limitée en raison de possibles effets secondaires tels que douleurs musculaires et articulaires et tendinites. Ne pas s’exposer au soleil pendant la prise jusqu’à 2 jours après l’arrêt du traitement: risque de photosensibilisation.
  • Le céfixime (OROKEN®): antibiotique appartenant à la famille des céphalosporines prescrit dans certains cas comme par exemple dans le cadre d’une cystite à risque de complications.

D’autres antibiotiques peuvent également être prescrits, en général après avoir effectué un antibiogramme: pénicillines (amoxicilline seul ou avec acide clavulanique), d’autres quinolones (norfloxacine, lévofloxacine, loméfloxacine), BACTRIM®.

Comment soulager une infection urinaire et éviter les récidives naturellement?

Des mesures d’hygiène simple pour prévenir les cystites

Certains facteurs tels qu'un excès d’hygiène intime, un manque d’hygiène intime, l'usage de spermicides ou la constipation peuvent favoriser la récidive des infections urinaires. Voici donc quelques mesures d’hygiène simples pour prévenir les cystites :

  • Boire au moins 1,5 litres d’eau par jour ;
  • En cas de constipation, manger des aliments riches en fibres ;
  • Avoir une bonne hygiène intime tout en évitant les produits trop irritants comme les savons et en privilégiant les gels lavants doux non parfumés et adaptés aux parties intimes. Ne pas faire de douche vaginale ;
  • Ne pas se retenir lorsqu’on a envie d’uriner et vider la vessie complètement ;
  • Toujours s’essuyer de l’avant vers l’arrière (en allant vers l’anus) après avoir uriner ou après être allée à la selle ;
  • Uriner avant et après les rapports sexuels ;
  • Éviter d’utiliser des spermicides ;
  • Éviter de porter des vêtements serrés et privilégier des matières naturelles ;
  • Préférer des sous-vêtements en coton.

Une bonne hygiène de vie: alimentation, exercice physique et gestion du stress

De façon générale, une bonne hygiène de vie avec une alimentation saine, la pratique régulière de l'exercice physique et une bonne gestion du stress peuvent s’avérer une grande aide pour éviter la survenue des infections urinaires.

La mise en place de bonnes habitudes va participer à renforcer le système immunitaire pour combattre les bactéries pathogènes, et également à diminuer l’acidité de l’organisme et par conséquent celle des urines (une acidité trop importante des urines peut en effet favoriser la prolifération bactérienne).

Il est possible de vérifier le pH urinaire à l’aide de bandelettes vendues en pharmacie.

Voici donc quelques recommandations à adopter au quotidien :

  • Privilégier des aliments alcalinisants qui vont aider à maintenir l’équilibre acido-basique de l’organisme :
    • Faire la part belle aux fruits et légumes frais, bio et de saison. Ne pas hésiter à utiliser des légumes verts et colorés et à agrémenter vos plats d'aromates. Consommer des fruits secs, des noix et des graines. Préférer les céréales complètes aux céréales blanches (pain, farine, pâtes, riz, etc). Préférer les eaux riches en bicarbonate.
    • A contrario, éviter une consommation excessive de protéines animales (viande, œufs, laitages, poisson) qui sont des aliments acidifiants. Éviter l’alcool, le tabac et le café.
  • L’exercice physique et les exercices de respiration vont également aider à réduire l’acidité de l’organisme, en plus de contribuer à une meilleure gestion du stress:
    • Sortir au contact de la nature tous les jours, s’oxygéner, pratiquer une activité physique au moins 30 minutes par jour (marche rapide, course à pied, danse, yoga, pilates, natation, sports collectifs, etc).
    • Pratiquer des exercices de respiration quotidiennement: cohérence cardiaque, respiration carrée ou encore marche afghane qui permet d’allier les exercices de respiration à l’activité physique quotidienne.
  • Enfin, il est important de bien se reposer, de bien dormir et de prendre soin de soi.

Zoom sur les probiotiques pour l’équilibre des microbiotes

Un déséquilibre du microbiote intestinal ou du microbiote vaginal peut rendre les cystites plus fréquentes : un déséquilibre de l’un ou de l’autre peut avoir des conséquences sur l’équilibre du microbiote urinaire.

Il paraît donc important de rééquilibrer la flore intestinale et la flore intime en consommant des aliments fermentés riches en probiotiques (des légumes ou des jus de légumes lacto-fermentés, des jus de fruits fermentés comme du kéfir, ou encore des thés fermentés comme du kombucha), ou avec une cure de probiotiques spécifiques de la sphère intime comme par exemple Bacillus intime en gélules à raison d’une gélule par jour pendant 2 mois.

Les probiotiques sont d’autant plus importants suite à la prise d’antibiotiques car ces derniers vont permettre de se débarrasser des bactéries pathogènes mais vont malheureusement aussi impacter les "bonnes" bactéries de la flore intestinale, et donc perturber son équilibre et augmenter le risque de récidive.

Avoir le réflexe des huiles essentielles en cas de crise

En cas de crise, les huiles essentielles peuvent s’avérer des alliés efficaces pour combattre l’infection bactérienne. A utiliser par voie orale, ou en massage du bas-ventre.

Les huiles essentielles ci dessous présentent des contre indications : ne pas utiliser chez la femme enceinte ou allaitante, ne pas utiliser en cas de maladie du foie ou d’insuffisance hépatique, déconseillé chez les personnes sous anticoagulants ou atteintes de troubles de la coagulation, usage réservé à l’adulte de plus de 15 ans.

L'huile essentielle de Cannelle Ceylan écorce (Cinnamomum zeylanicum ou verum) : 2 gouttes 3 fois par jour pendant 7 jours, à diluer dans une cuillère à café d’huile végétale alimentaire ou bien à mettre dans une gélule vide acido résistante à remplir soi même au moment de la prise.

L'huile essentielle de Clou de giroflier (Eugenia caryophyllus): 2 gouttes 3 fois par jour pendant 7 jours, à diluer dans une cuillère à café d’huile végétale alimentaire ou bien à mettre dans une gélule vide acido résistante à remplir soi même au moment de la prise.

L'huile essentielle de Sarriette des montagnes (Satureja montana): 2 gouttes 3 fois par jour pendant 7 jours, à diluer dans une cuillère à café d’huile végétale alimentaire ou bien à mettre dans une gélule vide acido résistante à remplir soi même au moment de la prise.


Retrouvez notre mélange "Cystites récidivantes" par voie orale, prêt à l’emploi. Synergie composé de 6 huiles essentielles bio diluées dans de l’huile végétale de tournesol à prendre en cure de 10 jours à raison de 7 gouttes 3 fois par jour par voie orale, puis faire un arrêt de 7 jours et refaire une cure de 10 jours.

Ce mélange renferme 6 huiles essentielles qui vont agir en synergie:

Ne pas utiliser chez la femme enceinte et allaitante, usage réservé à l'adulte de plus de 15 ans, à utiliser avec précaution chez les personnes asthmatiques, épileptiques ou sous anti coagulant, utilisation déconseillée chez les personnes souffrant d’insuffisance hépatique ou rénale, ne pas utiliser en cas d’antécédents de cancer ou de cancer hormonodépenant.

En massage au niveau du bas-ventre, en complément, afin de calmer les douleurs et les spasmes vésicaux, vous pouvez avoir recours à 3 huiles essentielles: Baume de copahu, Basilic exotique et Camomille romaine à diluer dans une huile végétale (cf: notre recette DIY) et pratiquer 3 applications par jour pendant 5 à 7 jours selon le besoin.

Ces 3 huiles essentielles possèdent des propriétés anti inflammatoires, antispasmodiques, décongestionnantes et relaxantes.

Utiliser les plantes pour aider en cas de crise et pour éviter les récidives

Les vertus diurétiques de certaines plantes vont permettre d'éliminer les bactéries responsables de l’infection en dehors du système urinaire, leurs vertus antiseptiques vont permettre de les tuer et leurs vertus anti-inflammatoires vont aider à calmer la douleur liée à l’inflammation de la vessie.

  • la Bruyère : diurétique puissant, antiseptique et anti-inflammatoire urinaire.
  • la Busserole : diurétique et antiseptique urinaire.
  • le Pissenlit : diurétique.
  • le Tilleul (aubier) : antispasmodique des muscles lisses (donc de la vessie) et drainant de l’organisme.
  • la Queue de cerise : diurétique et sédatif de l’inflammation des voies urinaires.
  • le Maïs (stigmates) : diurétique, sédatif, émollient et adoucissant des voies urinaires.
  • L'Artichaut et le Pourpier : diurétique.
  • La Sève de bouleau : diurétique et drainante.

D'autre part, certaines plantes et molécules peuvent agir en diminuant la fixation des bactéries sur les parois de la vessie :

  • la Canneberge (Cranberry) : reconnue pour la prévention des cystites récidivantes du fait de sa teneur en proanthocyanidines (PAC) qui contribuent à diminuer la fixation de certaines bactéries sur les parois de la vessie.
  • le D-mannose : il s’agit d’un sucre naturellement présent dans l’organisme. Lorsqu’il est ingéré, il est absorbé dans la circulation sanguine puis excrété dans l'urine inchangé; au niveau de la vessie, il empêche certaines bactéries de se fixer aux parois.

Le fait de prendre les plantes en tisane ou sous forme de macérat glycériné à diluer dans un verre d’eau aura l'avantage de "forcer" la personne à plus s’hydrater et donc à éliminer les agents infectieux davantage par les urines, comme par exemple, dans la gamme DépurACTIF, le DépurACTIF Système rénal composé de 12 extraits de plantes fraîches aux propriétés diurétiques, drainantes et antibactériennes.

Néanmoins, la prise sous forme de gélules peut avoir un côté plus pratique, surtout lorsque les plantes sont combinées dans un mélange prêt à l’emploi comme par exemple Action 5 plantes "Confort urinaire" en gélules qui est une association de 5 plantes : bruyère, canneberge, pissenlit, busserole et tilleul.

L'Extrait de Pépin de Pamplemousse (EPP), grâce à sa richesse en bioflavonoïdes, a des propriétés antimicrobiennes (antibactériennes, antivirales et antifongiques). Avec en plus ses vertus antioxydantes et immunostimulantes, il constitue un allié de choix pour accompagner le traitement des infections urinaires.

Enfin, l'Échinacée est une plante particulièrement intéressante pour ses propriétés stimulantes du système immunitaire. En effet, les cystites peuvent avoir tendance à survenir plus fréquemment sur un terrain immunitaire affaibli.

Penser à la gemmothérapie

L'utilisation de macérats glycérinés de bourgeons, jeunes pousses ou radicelles peut être une option alternative ou complémentaire intéressante car ils sont considérés comme plus actifs à des doses plus faibles que des préparations classiques faites à partir de feuilles, racines ou écorces.

  • le Bourgeon de Bruyère : diurétique et anti-infectieuse des voies urinaires
  • le Bourgeon de Genévrier : draineur des reins et de la vessie pour les cystites inflammatoires et infectieuses
  • le Bourgeon d’Airelle : antiseptique des voies urinaires, détoxifiant et filtrant du système rénal et vésical. Il est particulièrement intéressant chez les femmes lors de la période de ménopause car il est oestrogen-like.

Des fleurs de Bach pour le côté émotionnel

En médecine traditionnelle chinoise, la vessie est liée au sentiment d'insécurité, de suspicion, de possessivité et de territoire. Il peut donc être intéressant d'utiliser les fleurs de Bach qui agissent sur l'équilibre psycho-émotionnel de la personne.

Dans le cas des problèmes de territorialité, on utilisera par exemple le houx (holly) qui aidera à développer une attitude plus tolérante et compréhensive envers autrui, atténuant ainsi les conflits territoriaux.

La recette DIY aroma

Proposition d'une huile de massage bio pour soulager la cystite que vous pouvez réaliser vous même concentrée à hauteur de 8% d'huiles essentielles :

Il est également possible d'appliquer ce mélange en massage du bas-ventre pour soulager les symptômes liés à une cystite interstitielle.

Dans un flacon en verre brun de 30 ml, mettre le nombre indiqué de chacune des 3 huiles essentielles et compléter jusqu'en haut du flacon avec l'huile végétale de votre choix. Fermer avec de préférence un bouchon pipette et agiter.

Pratiquer 3 applications par jour pendant 5 à 7 jours selon le besoin.

En conclusion

La gestion naturelle des cystites, ou infections urinaires, et la prévention de leurs récidives représentent une approche intéressante et complémentaire en matière de santé urinaire. Cette stratégie souligne l'importance de mesures préventives et de remèdes doux, tout en reconnaissant la place de la médecine conventionnelle dans le traitement des cas aigus ou complexes.

L'adoption d'une hydratation adéquate, qui aide à éliminer les bactéries pathogènes du système urinaire, est fondamentale. L'intégration des probiotiques, à travers l'alimentation ou des suppléments, vise à rééquilibrer la flore intestinale et urinaire, ce qui est crucial pour une défense naturelle contre les infections.

Les mesures de prévention comprennent également l'adoption de bonnes pratiques d'hygiène, l'utilisation de sous-vêtements en coton pour permettre la respiration de la peau, et la modification de certaines habitudes quotidiennes susceptibles de favoriser le développement d'infections, comme éviter les irritants potentiels dans les produits d'hygiène personnelle.

Il est essentiel de noter que, bien que ces approches naturelles puissent être efficaces pour prévenir les cystites et en atténuer les symptômes, elles ne remplacent pas l'avis et le traitement médical professionnel, surtout en cas d'infections récurrentes ou sévères. La consultation d'un professionnel de santé permet d'établir un diagnostic précis et, si nécessaire, de prescrire un traitement antibiotique adapté pour éradiquer l'infection.

En conclusion, la gestion naturelle des cystites et la prévention de leurs récidives exigent une approche multifactorielle qui inclut des modifications du mode de vie et une alimentation équilibrée. Ces mesures, combinées à une vigilance médicale, peuvent contribuer significativement à améliorer la santé urinaire et à réduire le risque de récidives, soulignant l'importance d'une collaboration entre les pratiques naturelles et la médecine conventionnelle pour un bien-être optimal.

Natacha Ollivier

Naturopathe, certifiée ISUPNAT et FENA, vous accompagne pour retrouver un équilibre physique et émotionnel naturellement. Avec une approche bienveillante, elle vous apporte des conseils personnalisés et des pratiques naturelles pour retrouver une santé optimale. Pour en savoir plus sur l'auteure, lire sa fiche auteure.

Vanessa Bozec

Diplômée de la faculté de Rennes, 15 ans d'expérience comme pharmacienne assistante dans plusieurs officines, en Bretagne, à Paris puis dans les Cévennes. Passionnée par l'aromathérapie, elle exerce comme pharmacienne pour le laboratoire d'aromathérapie Vanessences.fr qu'elle a cofondé. Pour en savoir plus sur l'auteure, lire sa fiche auteure.